30 ans de mariage et 16 enfants : ils ont 9 garçons et 7 filles âgés de 4 à 29 ans.

Ah, le rêve de beaucoup : avoir des enfants, une grande famille pleine d’amour et de vie. Pour certains, c’est un rêve tranquille avec un ou deux enfants, mais pour d’autres, comme Jen et Ray Bonell, c’est un véritable marathon familial !

 

Lorsque Jen a rencontré Ray, elle ne se voyait pas comme une mère. Il avait d’autres projets en tête. Mais Ray, avec sa persuasion, a eu le dernier mot. Aujourd’hui, le couple est parent de 16 enfants. Oui, vous avez bien lu, seize enfants !

 

Imaginez la scène : une grande maison avec neuf garçons et sept filles qui courent partout. Les Bonell sont Jesse, Brooke, Claire, Natalie, Karl, Samuel, Cameron, Sabrina, Tim, Brandon, Eve, Nate, Rachel, Eric, Damian et Katelyn.

Est-ce que ça reste encore en place ? Se souvenir des noms, des anniversaires, des habitudes… c’est un défi quotidien. Mais pour Ray et Jen, c’est la norme. Depuis la naissance de leurs premiers enfants, ils n’ont cessé de s’agrandir et continuent de rêver d’une famille encore plus grande.

 

Élever 16 enfants doit être un tourbillon ! Jen avoue que c’est complexe à gérer, mais elle ne s’ennuie jamais. Chaque jour est unique, rempli de nouvelles aventures et de défis.

 

« C’est amusant. Pour une famille de cette taille, il faut faire de nombreux sacrifices, mais pour nous, c’est une bonne chose. Pour beaucoup d’autres, cela pourrait ne pas être le cas.

Mais nous investissons 100 % dans l’éducation de nos enfants et dans notre vie de famille, donc c’est parfait pour nous.

 

Les photos de cette famille heureuse en sont la preuve, et nous nous demandons si d’autres petits Bonell viendront bientôt embellir encore plus leur vie déjà si remplie.

Si vous aimez les animaux et souhaitez entendre une histoire intéressante, lisez le texte ci-dessous…

Ces oiseaux « rôtissent » leurs enfants sur un volcan. En conséquence, les poussins naissent très forts

Durcir le corps est une chose nécessaire et très utile, surtout dès le plus jeune âge. Mais les poulets aux grandes pattes du genre Maleo ont abordé cette question avec un courage inattendu. Alors que les hommes ont l’habitude de s’arroser d’eau froide ou de prendre une douche contrastée, ces oiseaux élèvent leur progéniture à proximité immédiate des volcans !

 

N’imaginez pas que les mâles jettent simplement leurs œufs dans des bouches de lave. Ce n’est pas si dramatique que ça. Cependant, sur l’île de Sulawesi, où ils vivent, les volcans sont littéralement à chaque tournant. Et c’est dans ces endroits chauds, où l’on sent la chaleur sous les pieds, que les poules aux grandes pattes installent leurs incubateurs pour se reproduire.

 

L’énergie géothermique, connue des écologistes, est utilisée depuis longtemps par Maleo comme incubateur naturel. Il suffit aux oiseaux de creuser un petit trou dans la pente chaude du volcan, d’y pondre leurs œufs et… de partir. Oui, ils ne vont pas les incuber !

 

Les Maleos ont choisi une stratégie dans laquelle leur progéniture survit, mais les parents eux-mêmes n’ont pas la charge de prendre soin d’eux. C’est très pratique et efficace. Lorsque deux oiseaux adultes se rencontrent dans la jungle dense de Sulawesi, ils n’ont pas de limites strictes de reproduction. Les oiseaux se rendent sur les rives des rivières ou des lacs, où le sol est chaud en raison de l’activité volcanique. C’est là qu’ils construisent leurs nids.

 

Ayant choisi un endroit avec une source de chaleur constante, la femelle ne pond que quelques œufs dans le trou. Ne pensez pas qu’elles peuvent pondre autant que les poules domestiques. Les œufs de Maleo sont cinq fois plus gros que les œufs de poule ordinaires, bien que les oiseaux eux-mêmes ne soient pas plus gros que les poulets de chair auxquels nous sommes habitués.

Après avoir enterré la couvée et l’avoir recouverte de terre et de feuilles, les parents partent sereinement, laissant leurs futurs poussins à leur sort. Mais ne vous inquiétez pas pour les enfants : grâce à la température naturelle du sable, constamment chauffée à 33-35 °C, les œufs se développent parfaitement sans aucune participation des adultes. Et lorsque les poussins éclosent, ils sont immédiatement prêts à vivre de manière indépendante.

 

Contrairement aux poussins ordinaires, les nouveau-nés mâles possèdent une gamme complète de compétences de survie. Ils peuvent immédiatement chercher de la nourriture, se cacher des prédateurs et même voler. Il n’est pas surprenant que leurs œufs soient si gros : ils contiennent suffisamment de nutriments pour que les jeunes poussins, dès l’éclosion, puissent immédiatement commencer une vie indépendante.

 

 

La tactique de Maleo consistant à utiliser la chaleur des volcans pour incuber les œufs et éviter la parentalité semble ingénieuse. Ces oiseaux assuraient non seulement une naissance en toute sécurité à leur progéniture, mais permettaient également aux adultes de ne pas perdre de temps à couver et à prendre soin des poussins.

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