La communauté de la musique country est en deuil suite à la perte d’un personnage chéri, décédé dans sa maison du Texas fin juin à l’âge de 79 ans. La nouvelle, partagée dans un message sincère sur les réseaux sociaux le 27 juin, a révélé qu’il a passé ses derniers moments au ranch Echo Hill à Medina, entouré de sa famille et de ses amis proches.
L’annonce a noté de manière poignante : « Il a marché sur un arc-en-ciel à sa chère Echo Hill, entouré de ceux qui lui étaient chers. Malgré une douleur immense et une perte inimaginable ces dernières années, il n’a jamais perdu son esprit combatif et son esprit vif. » En 2006, il s’est présenté au poste de gouverneur contre Ricky Perry, attirant l’attention des médias, bien qu’il ait finalement terminé quatrième. Il a également brigué la nomination démocrate pour le poste de commissaire à l’agriculture en 2010 et 2014, bien que sans succès. Un ami de longue date, Clive Hattersley, se souvient avec affection de lui comme d’un communicateur extraordinaire qui pouvait susciter des émotions profondes, que ce soit par les larmes ou le rire. Hattersley a également mentionné qu’il luttait contre la maladie de Parkinson. Il s’est fait connaître au début des années 1970 en formant le groupe country satirique Kinky Friedman and The Texas Jewboys, connu pour des chansons comme « They Ain’t Makin’ Jews Like Jesus Anymore » et « Get Your Biscuits in the Oven and Your Buns in the Bed ». Bien que la carrière du groupe ait été brève, il a poursuivi son parcours musical, sortant un album solo éponyme en 1974 et se lançant dans une tournée de deux ans avec Bob Dylan. Tout au long de sa carrière, il a sorti 18 albums, son dernier opus, « Circus of Life », étant paru en 2018. Le mois dernier, la scène country a pleuré la perte tragique du chanteur bien-aimé Richard « Kinky » Friedman, décédé à son domicile au Texas fin juin, à l’âge de 79 ans. Repose en paix.
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Ces oiseaux « rôtissent » leurs enfants sur un volcan. En conséquence, les poussins naissent très forts
Durcir le corps est une chose nécessaire et très utile, surtout dès le plus jeune âge. Mais les poulets aux grandes pattes du genre Maleo ont abordé cette question avec un courage inattendu. Alors que les hommes ont l’habitude de s’arroser d’eau froide ou de prendre une douche contrastée, ces oiseaux élèvent leur progéniture à proximité immédiate des volcans !
N’imaginez pas que les mâles jettent simplement leurs œufs dans des bouches de lave. Ce n’est pas si dramatique que ça. Cependant, sur l’île de Sulawesi, où ils vivent, les volcans sont littéralement à chaque tournant. Et c’est dans ces endroits chauds, où l’on sent la chaleur sous ses pieds, que les poules aux grandes pattes installent leurs incubateurs pour se reproduire.
L’énergie géothermique, connue des écologistes, est utilisée depuis longtemps par Maleo comme incubateur naturel. Il suffit aux oiseaux de creuser un petit trou dans la pente chaude du volcan, d’y pondre leurs œufs et… de partir. Oui, ils ne vont pas les incuber !
Les Maleos ont choisi une stratégie dans laquelle leur progéniture survit, mais les parents eux-mêmes n’ont pas la charge de prendre soin d’eux. C’est très pratique et efficace. Lorsque deux oiseaux adultes se rencontrent dans la jungle dense de Sulawesi, ils n’ont pas de limites strictes de reproduction. Les oiseaux se rendent sur les rives des rivières ou des lacs, où le sol est chaud en raison de l’activité volcanique. C’est là qu’ils construisent leurs nids.
Ayant choisi un endroit avec une source de chaleur constante, la femelle ne pond que quelques œufs dans le trou. Ne pensez pas qu’elles peuvent pondre autant que les poules domestiques. Les œufs de Maleo sont cinq fois plus gros que les œufs de poule ordinaires, bien que les oiseaux eux-mêmes ne soient pas plus gros que les poulets de chair auxquels nous sommes habitués.
Après avoir enterré la couvée et l’avoir recouverte de terre et de feuilles, les parents partent sereinement, laissant leurs futurs poussins à leur sort. Mais ne vous inquiétez pas pour les enfants : grâce à la température naturelle du sable, constamment chauffée à 33-35 °C, les œufs se développent parfaitement sans aucune participation des adultes. Et lorsque les poussins éclosent, ils sont immédiatement prêts à vivre de manière indépendante.
Contrairement aux poussins ordinaires, les nouveau-nés mâles possèdent une gamme complète de compétences de survie. Ils peuvent immédiatement chercher de la nourriture, se cacher des prédateurs et même voler. Il n’est pas surprenant que leurs œufs soient si gros : ils contiennent suffisamment de nutriments pour que les jeunes poussins, dès l’éclosion, puissent immédiatement commencer une vie indépendante.
La tactique de Maleo consistant à utiliser la chaleur des volcans pour incuber les œufs et éviter la parentalité semble ingénieuse. Ces oiseaux assuraient non seulement une naissance en toute sécurité à leur progéniture, mais permettaient également aux adultes de ne pas perdre de temps à couver et à prendre soin des poussins.